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Généalogies des Grands-Maitres Hospitaliers, Rhodes, Malte
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Jean de Villiers. Septembre 1285 — 20 octobre 1293

Jean de Villiers, successeur de Nicolas Lorgne, était français. Le 6 juillet 1269, il fut appelé en Terre Sainte par le grand-maître ; le 3 avril 1277, nous le trouvons investi de la charge de commandeur de Tripoli (1). Quelques années plus tard, il quitte l'Orient pour occuper les fonctions de prieur de France. L'époque de sa nomination à ce poste est assez difficile à préciser. Nous savons que son prédécesseur Jean de Chevry résigna le prieuré de France après août 1278 et avant le 19 juin 1280 (2), que, du 19 août 1280 au 2 juillet 1281, le prieuré fut administré par un lieutenant, Thomas le Rat (3), et que le premier acte connu de Jean de Villiers en qualité de prieur fut rendu à Corbeil le 17 juin 1282(4). Si nous tenons compte du temps nécessaire au nouveau titulaire pour revenir d'Orient en France, et si nous admettons que l'acte du 17 juin 1282 peut n'être pas parmi les premiers actes émanés du nouveau prieur, la nomination de Villiers semble se placer aux premiers mois de 1282. Ce qui est certain, c'est qu'à partir du 17 juin 1282 Villiers résida dans son prieuré, où la nouvelle de son élévation au magistère vint l'atteindre dans l'été de 1285 (5).

Après son élection, Jean de Villiers ne se hâta pas, comme on aurait pu le supposer, de regagner la Terre Sainte, dont la situation critique semblait réclamer sa présence. Il resta en France pendant plus d'une année; le 21 août 1286, nous le trouvons à Puymoisson en Provence (6) ; il est fort probable que son séjour dans cette localité fut une des dernières étapes avant son embarquement pour le Levant. Pendant cette période, il règle les affaires intérieures de l'Ordre (7), et un de ses actes, la vente à l'abbaye de Marmoutier des maisons que l'Hôpital possédait à Blois (8), nous met sur la trace des préoccupations qui le retenaient en Occident. Cette aliénation, en effet, était destinée à lui procurer des ressources pécuniaires pour la Terre Sainte; il n'est pas douteux qu'en s'attardant en France il ait cherché à recueillir des subsides et à obtenir des pouvoirs publics et des particuliers la promesse d'une intervention militaire et d'un appui financier pour la cause chrétienne, gravement compromise en Orient. Ses efforts ne semblent pas avoir été couronnés de succès, et il ne réussit pas à secouer l'apathie et l'indifférence de ceux qu'il sollicitait.

Pendant que le grand-maître élu était encore en Occident, Henri II de Lusignan avait débarqué à Chypre, et s'était fait couronner à Tyr roi de Jérusalem (15 août 1286) (9); les Génois et les Pisans avaient repris sur les côtes de Palestine leurs rivalités maritimes (1286 et 1287), et la mort de Bohémond VII d'Antioche (19 octobre 1287) avait ouvert de nouveau la succession du comté de Tripoli, que Lucie, soeur de Bohémond, réclamait aux Tripolitains, peu disposés à reconnaître les droits de la princesse (10). Divisés par les compétitions intestines, que l'imminence du péril musulman eût dû faire taire, abandonnés par l'Occident, les Chrétiens étaient à la merci de la première attaque des Infidèles; mais bien que, lors de l'arrivée de Jean de Villiers à Acre, les Musulmans leur laissassent encore parfois quelque répit, la situation des Latins était pour ainsi dire désespérée.

En 1288, le grand-maître profita de cette accalmie pour tenir à Acre un chapitre général, dont les décisions disciplinaires nous ont été conservées (28 octobre 1288) (11), mais dont l'objet principal fut à coup sûr l'examen de l'état de la Terre Sainte et des mesures à prendre pour retarder la ruine qui la menaçait.

L'année suivante, les Chrétiens crurent que leur dernière heure avait sonné. Le sultan Kalavoun, reprenant contre eux les hostilités suspendues depuis quatre ans, mit le siège devant Tripoli (17 mars 1289) (12). Toutes les forces dont la chrétienté disposait, — le connétable du royaume Amaury de Lusignan, le contingent entretenu en Palestine par le roi de France sous les ordres de Jean Grailly, les Templiers, un grand nombre d'Hospitaliers, les galères vénitiennes et génoises et quelques Pisans, — vinrent au secours de la place. La destruction par les machines des assiégeants de la vieille tour de l'Evêque et de la tour neuve des Hospitaliers détermina la prise de la ville (26 avril 1289). Ceux des assiégés qui échappèrent à la mort ou à la captivité parvinrent à se réfugier sur les navires du port et à s'éloigner par mer; parmi eux, les historiens signalent le connétable, le maréchal du Temple, Jean de Grailly et le maréchal des Hospitaliers, Matthieu de Clermont, et parmi les prisonniers quelques chevaliers de l'Hôpital (13). Peu de jours après les châteaux de Néphin (14), possession des Hospitaliers, et de Batroun, tombèrent également au pouvoir des Infidèles. Les Chrétiens ne possédaient plus qu'Acre, Athlith, Sidon, Tyr et Beirout. Aux yeux les moins clairvoyants, le siège d'Acre, centre des dernières possessions des Latins et suprême rempart de leur domination en Terre Sainte, était imminent, et la chute de cette place inévitable.

Contre toute attente, l'événement redouté ne se produisit pas à la campagne suivante. L'année 1290 s'écoula sans que les Musulmans parussent devant les murs d'Acre ; la mort du sultan Kalavoun (novembre 1290) avait procuré aux Chrétiens ce dernier répit. Ceux-ci, redoublant d'instances pour être secourus, crièrent partout leur détresse (15) ; si, grâce aux efforts incessants du S. Siège (16), quelques croisés (17), quelques sommes d'argent et quelques navires (18) leur furent envoyés, ces renforts étaient insuffisants pour assurer la résistance. La population d'Acre s'élevait à environ 30 000 âmes, et les troupes à 800 chevaliers et 13 000 fantassins. Que pouvait, contre les forces musulmanes, un si petit nombre de combattants ? Ils étaient voués à une défaite certaine, et l'histoire admirera l'héroïsme avec lequel ils défendirent une cause désespérée (19).

Dès le commencement de mars 1291, les habitants d'Acre, attendant de jour en jour l'arrivée de l'ennemi, avaient réparti leurs troupes en quatre divisions. La première obéissait à Jean de Grailly et à Othon de Granson ; la seconde au chef du contingent chypriote et au lieutenant des Teutoniques. Les grands-maîtres de l'Hôpital et de l'ordre de S. Thomas étaient à la tète de la troisième, et les grands-maîtres du Temple et de S. Lazare commandaient la quatrième. Les premières troupes musulmanes parurent aux environs d'Acre à la fin de mars ; l'armée assiégeante, entièrement concentrée le 5 avril devant la ville, commença l'investissement le 12 sous la direction du nouveau sultan, Malek el Aschref Khalil, qui venait de succéder à son père. Quelques sorties sans résultat des assiégés, l'arrivée du roi de Chypre (4 mai) avec un faible secours, ne suffirent pas à arrêter les progrès des assiégeants, qui successivement parvinrent à miner et à détruire la plupart des défenses de la place. L'assaut fut donné le 16 mai ; le fossé près de la porte S. Antoine, à l'angle nord de la première enceinte, comblé, et une brèche pratiquée dans la muraille. Les assiégés faiblissaient quand les Templiers accoururent. Le maréchal de l'Hôpital, Matthieu de Clermont, à la tête des Chrétiens, parvint à refouler les Musulmans et à boucher la brèche ; on profita de ce répit pour embarquer les femmes et les enfants, mais l'état de la mer ne permit pas aux navires qui devaient les emmener de sortir du port. Le surlendemain (18 mai), l'ennemi reprit l'assaut; tandis qu'à la porte S. Antoine Matthieu de Clermont, par des prodiges de valeur, repoussait une seconde fois les Musulmans, d'autres troupes du sultan avaient forcé l'enceinte à l'angle nord-est, du côté de la barbacane du roi Hugues, et s'étaient dirigés vers la porte S. Antoine. Les grands-maîtres du Temple et de l'Hôpital, avec les chevaliers Syriens et Chypriotes, y rejoignirent l'ennemi, mais sans pouvoir l'arrêter. Le grand-maître du Temple tomba percé d'une flèche et mourut peu après de sa blessure. Jean de Villiers, également blessé, fut sauvé par ses valets et transporté sur un navire. Matthieu de Clermont, dont l'héroïsme avait soulevé l'admiration de tous, succomba à son tour près de la rue des Génois. En même temps, les Pisans à la porte de S. Romain, les chevaliers de S. Thomas près de l'église S. Léonard, Jean de Grailly et Othon de Granson à la porte S. Nicolas et à la tour du Légat, avaient dû lâcher pied. L'ennemi était maître absolu de la ville ; les six vaisseaux qui se trouvaient dans le port avaient fait voile vers Chypre et l'Arménie, emmenant un certain nombre de fugitifs ; seuls les Templiers, qui s'étaient réfugiés dans leur château, et les chrétiens, qui avaient cherché asile dans les palais fortifiés de l'Hôpital et des Teutoniques, prolongèrent d'une huitaine de jours la résistance sur ces points isolés. Quand le sultan eut triomphé de ces derniers obstacles, il ordonna de ruiner la ville de fond en comble ; l'oeuvre de destruction, confiée à ses soldats, mais trop lente à son gré, fut hâtée et achevée par le feu. Pas un des Francs trouvés dans la ville ne fut épargné ; femmes et enfants furent vendus comme esclaves; les hommes, répartis entre les émirs, furent mis à mort par ordre de Malek el Aschref. Le grand-maître se réfugia à Chypre, et, quelques jours après son arrivée, malgré les souffrances que lui faisaient endurer ses blessures, il écrivit à Guillaume de Villaret, prieur de S. Gilles, pour l'informer du « maleuret trebucement » d'Acre et de la perte de la Terre Sainte (20). Un petit nombre de ses chevaliers, sept seulement au dire d'une autre source (21), avait réussi à s'échapper avec lui. « La grande tristece de cuer, entrepris de très grant doleur », que Jean de Villiers exprimait dans sa lettre, fut universellement ressentie, en Orient et en Occident. On comprit que la domination latine était irrémédiablement ruinée en Terre Sainte, qu'avec Acre disparaissait le dernier espoir des Chrétiens et le fruit d'efforts soutenus pendant près de deux siècles, avec plus de persévérance peut-être que d'intelligence politique et militaire, mais avec une éclatante valeur, qui avait forcé l'admiration de la Chrétienté et de l'Islamisme (22).

Dans sa nouvelle résidence de Limisso, sur la côte méridionale de l'île de Chypre, Jean de Villiers se consacra à la réorganisation de son Ordre ; la fin de sa vie fut exclusivement remplie par cette tâche. Deux chapitres généraux, tenus par lui en 1292 (6 octobre) et 1293 (20 octobre) (23), témoignent de ses efforts en ce sens. Si la Terre Sainte était irrémédiablement évacuée, la Chrétienté n'en conservait pas moins l'espoir, de jour en jour plus chimérique, d'y reprendre pied. Le grand-maître, partageant l'illusion générale (24), s'efforça de mettre ses chevaliers en mesure, si l'occasion se présentait, de prendre part à de nouvelles expéditions, et en tout cas de contribuer à la défense du royaume de Chypre et à la protection du royaume d'Arménie (25), tous deux menacés par les armes victorieuses des Musulmans. Nous ignorons l'époque exacte de la mort de Jean de Villiers ; elle se place entre le 20 octobre 1293 et le 30 septembre 1294 ; à cette dernière date, en effet, le chapitre général des Hospitaliers fut présidé par Eudes des Pins, son successeur (26).

La plupart des historiographes de l'Ordre ont, pour cause, passé sous silence le magistère de Jean de Villiers. Il rappelait de trop douloureux souvenirs pour qu'ils voulussent en perpétuer la mémoire. Quelques-uns cependant, soucieux d'indiquer la suite complète des grands-maîtres, l'ont mentionné, tantôt sans commentaire (27), tantôt en lui attribuant de « bons establissements » (28) et des dispositions nouvelles pour l'élection des grands-maîtres (29). Nous n'avons conservé de cette dernière réglementation aucune trace, et nous ignorons en quoi elle consistait. Elle fut cependant réellement due à Jean de Villiers ; les statuts du chapitre général de 1302, qui la confirment, sont formels sur ce point (30); mais ni les avantages de cette réforme, ni l'opportunité de ces ordonnances capitulaires n'eurent le pouvoir de faire oublier que la Terre Sainte avait été perdue sous Jean de Villiers, et que celui-ci était en quelque sorte responsable devant la postérité de la ruine des espérances chrétiennes. Ainsi le grand-maître porta le poids de fautes accumulées avant lui, et qu'il n'avait pas commises.

Personnellement il se conduisit, dans la catastrophe finale, avec une noblesse d'âme et un courage au-dessus de tout éloge; tout ce qui pouvait être fait pour retarder l'évacuation d'Acre, il le fit avec l'énergie du désespoir, et les préoccupations militaires l'absorbèrent exclusivement pendant son magistère. Il est donc profondément injuste de ternir la mémoire de Jean de Villiers d'accusations et de responsabilités auxquelles il demeura étranger, puisqu'il hérita, en prenant le pouvoir, d'une situation qu'il n'avait pas créée et qu'il était incapable de modifier. L'histoire, si elle a quelque souci d'impartialité, doit énergiquement protester contre de pareilles imputations. Elle s'honorera en proclamant hautement que Jean de Villiers fut, non l'auteur, mais la victime, des événements qui amenèrent la chute d'Acre et la fin de la domination latine en Terre Sainte, et en dégageant le nom du grand-maître des souillures dont il était jusqu'ici entaché.
Sources : Joseph Delaville Le Roulx. Les Hospitaliers en Terre Sainte et à Chypre (1100-1310). Paris, E. Leroux, 1904. In-8º, XIII-440 pages.
— Vous pouvez voir le livre dans son intégralité à cette adresse : Archives.Org

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Les Notes
1. Cartulaire, III, nº 3350 et 3628.
2. Cartulaire, III, nº 3669 et 3574.
3. Cartulaire, III, nº 3574 et 3757.
4. Cartulaire, III, nº 3794.
5. Acte de septembre 1285 (Cartulaire, III, nº 3909). V. plus haut, p. 236.
6. Cartulaire, III, nº 3939-40. Cf. 5 septembre 1309 (Cartulaire, IV, nº 4879).
7. Cartulaire, III, nº 3909, 3932, 3933, 3936.
8. Dec. 1285 (Cartulaire, III, nº 3917)
9. Il logea pendant son séjour à Acre dans le palais des Hospitaliers (Amadi, Chronique, 216-7).
10. Elle avait épousé Narjaud de Toucy, amiral de Charles II d'Anjou, roi de Naples. Le S. Siège favorisait ses prétentions (12 avril 1188, Cartulaire, III, no 3995).
11. Cartulaire, III, nº 4022.
12. Rohricht, Gesch. des Kon. Jérusalem, 100-1. Celte date est donnée par les Gestes (p. 225) et par Marino Sanudo (p. 229). Jacques d'Oria donne le 10 mars (p. 323), Aboul Fèda le 25 mars (p. 162) etc. — Remarquons ici que nous avons adopté les dates admises par Rohricht, et que celui-ci a discutées ; les diverses sources orientales et occidentales diffèrent souvent assez notablement dans l'indication de ces dates.
13. Gestes des Chiprois, 237. Le chroniqueur des Gestes donne à Matthieu de Clermont le titre de commandeur de l'Hôpital. Nous savons qu'il occupait les fonctions de maréchal de l'Ordre.
14. Marino Sanudo, 230.
15. Voir notamment Cartulaire, III, nº 4049. Alphonse III, roi d'Aragon, s'excusa auprès du grand-maître, le 30 avril 1290, de ne pouvoir passer en Terre Sainte (Cartulaire, III, nº 4090).
16. Le lecteur trouvera les preuves de ces efforts dans les Registres de Nicolas IV, édités par E. Langlois.
17. Le grand-maître fit venir en Terre Sainte tous les chevaliers d'Occident qu'il put détacher de leurs prieurés, entre autres Rostang de S. Gieur et le prieur d'Angleterre Guillaume de Henley (Cartulaire, III, nºs 4050 et 4102). Les autres ordres agirent de même. Les pèlerins, qui prirent la croix pour répondre à l'appel des chrétiens de Palestine, s'embarquèrent dans les ports d'Italie sur des navires italiens.
18. Cartulaire, III, nº 4054.
19. Les principales sources occidentales pour le siège d'Acre sont : les Gestes des Chiprois, 243 et suivantes; l'Excidium urbis Acconis (dans Martène, Amplissima collectio, V) 757-84, et la lettre de Jean de Villiers (Cartulaire III, nº 4157). Parmi les sources arabes : Aboul Feda, Afinales (Ilist. orient, des croisades I, 163 et suivantes), et Makrizi (Histoire des sultans Mamlouks, II, i, 121 et suivantes). Pour tout ce qui concerne les sources et le récit du siège, v. Rohricht, Gesch. des Konigreichs Jerusalem, p. 1008-24.
20. Cartulaire, III, nº 4157.
21. Excidium urbis Acconis, 782.
22. Dans le courant de l'été de 1291, les dernières possessions des Latins en Terre Sainte, Tyr, Sidon, Beirout, Tortose et Athlith, furent évacuées ou tombèrent aux mains des Musulmans.
23. Cartulaire, III, nº 4194 et 4234.
24. Cette illusion fut si générale et si prolongée chez les Hospitaliers que, dans leurs divers déplacements à Chypre, à Rhodes et à Malte, ils eurent toujours soin de transporter et de conserver leurs archives, et particulièrement la partie de celles-ci qui justifiait leurs revendications possibles en Terre Sainte.
25. Le 23 janvier 1293, le pape Nicolas IV ordonna au grand-maître de l'Hôpital d'employer les galères de l'Ordre à la défense du royaume d'Arménie (Cartulaire, III, no 4183).
26. Cartulaire, III, nº 4259.
27. Londres, Musée Britannique, fonds Cotton, Néron E. VI, f. 466 b.
28. Turin, Bibliothèque de l'Université, LV, 45, f. 9.
29. Bibliothèque du marquis d'Aulan, ms. des Statuts, f. 138; Rome, Bibliothèque du Vatican, ms. 3136, f. xxxiii ; Paris, Bibliothèque nationale, France 1079, f. 186 b; 1080, f. 90 b; 1978, f. 169; 6049, f. 143 b, et 1979, f. 181 b. Vienne, Bibliothèque imp. royaume, ms. 3323, f. 8 et f. 213. Le ms. de Paris, (Bibliothèque nationale, France 1978, f. 169) attribue simplement à Jean de Villiers la décision « que toute la pécune qui se trouveroit as maistres venist au trésor. » Celle prescription ne figure pas dans les Statuts promulgués sous le magistère de Jean de Villiers.
(5) Cartulaire, IV, nº 4574, art. 16.

Sources : Joseph Delaville Le Roulx. Les Hospitaliers en Terre Sainte et à Chypre (1100-1310). Paris, E. Leroux, 1904. In-8º, XIII-440 pages.
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